Sonia BOSSAN
1, place des fédérés
93160 NOISY LE GRAND - France
Tél./ Fax : 01.43.03.40.05
Née en 1967 à Paris


En projet
Réalisation d'un documentaire sur une peintre américaine Rebekah BERGER
Publication d'un livre avec des autoportraits et des poèmes de Gabriel Okoundji

Expositions collectives (photographies)
1997Du 6 au 20 mai
Galerie de l'espace Nesle, Paris
Mois Bis de la Photographie
1995Du 18 au 25 octobre
Mairie du 19ème arrondissement, Paris
Thème " Temps de pause "
1994 - 1995Du 26 octobre au 14 janvier
Galerie Colbert, Bibliothèque Nationale de France, Paris
Thème " L'ombre, la matière, la fiction "
1994Du 27 avril au 29 mai
39ème Salon d'Art Contemporain de Montrouge
Publication
La photographie contemporaine
La matière, l'ombre, la fiction de Jean-Claude Lemagny
Collection Nathan - Bibliothèque Nationale de France

Collection
Acquisition de 13 Autoportraits / Racine / Ecorce, format 34 x 48,5 cm.
par la Bibliothèque Nationale de Paris,
Département des Estampes et de la Photographie

Filmographie
1996 Réalisation d'un film documentaire sur les contes créoles
" Ils ne peuvent pas nous voler le soleil ", durée 20 min.
Sélectionné au 6ème Rencontre Documentaire " Traces de Vies " à Clermont-Ferrand
1996Réalisation d'un court-métrage " Je fais le rêve ", durée 6 min. 20s.,
d'après le texte de Martin Luther King
1996Photographe de plateau du film " F(r)ictions " de Véro Cratzborn

Formation
1993Diplôme Supérieur d'Art Plastique
1987 - 1993Etudiante à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris
1986Baccalauréat Série A1 (Lettres - Philosophie - Mathématiques)

A FLEUR DE PEAU

L'appareil photographique capte la lumière et
restitue une empreinte de ce qui est devant lui.
Mais peut - il refléter l'espace intérieur, l'esprit ?

Mes images sont le fruit d'une recherche
personnelle sur l'identité. L'union du corps avec
les plantes veut participer au flux incessant du dynamisme vital.

L'être est en mouvement constant, il s'arrête avec
la mort.
Sonia BOSSAN. 1997.

VOICI L'OMBRE

Voici l'ombre
de ce pas qui fut le tien
effusion des solitudes
gouttes d'eau magnanimes
effluve des larmes de nostalgie

Voici l'ombre
recueillie aux tréfonds du rêve
saveur du sable
trace livide, simple trace opaque
métamorphose immobile

Voici l'ombre
au sommet de l'existence
toute nue, à la volonté de l'espoir
sans attache, sans geste, sans parole
défiant les balbutiements de l'univers
pour mieux aborder les utopies.

Bordeaux, le 14 mai 1997.

Gabriel OKOUNDJI



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